Touchée par un calicivirus, Bianca a besoin d’un médicament qui lui provoque des diarrhées…
184 212 cm3
de niche offertes
184 212 cm3
de niche nécessaires
Myrtille et Cracotte sont deux lapines qui ont été abandonnées sur le chemin des vacances.
Elles étaient laissées là, toutes seules, dans une cage en plein soleil, au bord de la route...
Myrtille est particulièrement fragile à cause de la grosse lacération qu'elle a sur le dos.
L'APATE vient de les récupérer, mais il faut des abris pour que ces deux lapines puissent rester à l'association.
Ne les abandonnons pas une seconde fois !
Myrtille et Cracotte sont deux lapines sauvées in extremis en juillet dernier. Abandonnées sur le bord de la route en plein cagnard dans une cage, elles ont frôlé la mort. « Elles n’étaient pas identifiées, mais on pense que c’était des lapins pour des enfants car sur le bas de leur cage se trouvent des dessins et des autocollants.
C’est typiquement l’abandon du départ en vacances, » commente avec colère Magali, secrétaire de l’association.
A son arrivée, l’une d’elles souffre de graves blessures. « Myrtille porte des lacérations sur tout le côté droit. Soit c’est une maltraitance venant d’un humain, soit elle s’est faite attaquer par un chien. » Myrtille passe alors plusieurs jours sous antibiotiques, et ses plaies sont soignées.
Les deux lapines ont à présent été identifiées et vaccinées, elles seront stérilisées dès que l’association aura les fonds nécessaires.
Maintenant, Myrtille et Cracotte ont grand besoin d’un chez-elles. « En ce moment, elles sont logées dans un poulailler. Le but et de leur donner un espace rien qu’à elles pour qu’elles soient libres et non pas enfermées dans un enclos. »
L’association Alapate, créée en 2004, sauve et soigne des animaux abandonnés. « On commence doucement à recevoir des subventions de la mairie et du conseil général, mais elles mettent plus de six mois à arriver et restent relativement maigres.
Cela ne couvre même pas un mois de vétérinaire partenaire et nos dépenses en soins sont très élevées, » explique Magali.
« Il n’est pas rare que nous payions ces soins nous-même quand l’association manque de fonds, » confie Magali. Les frais de vétérinaire laissent Alapate sans un sous pour acheter des couvertures, des abris, et de la nourriture, nécessaires à la survie de ses pensionnaires.
Cette collecte permettra d'offrir deux abris à l'association.