Abandonné, Selfie a été blessé par un chien !
200 kg
de granulés offerts
200 kg
de granulés nécessaires
La mère de Garance ne voulait pas d'elle !
Dès son deuxième jour, elle a été nourrie uniquement grâce à l'association.
Se lever toutes les deux heures pour lui apporter son lait, vérifier qu'elle prenne bien ses compléments alimentaires... Une véritable vocation pour les bénévoles, mais un budget conséquent qui grève les finances de l'association.
Le refuge consomme 1 800 kg de granulés chaque mois, l'ADADA en a besoin pour faire prendre des forces à Garance, mais aussi nourrir ses 300 ânes : ne les laissons pas tomber !
Garance n'avait qu'un jour et demi quand l'association a été appelée en urgence pour prendre soin d'elle comme Marinette, la présidente, le confie « Garance était rejetée par sa mère, qui refusait de la nourrir. On pense qu'elle avait été saillie trop tôt, peut-être trop violemment... Le vétérinaire a été obligé de l'endormir pour parvenir à la traire et à récupérer un peu de lait pour Garance. »
Dès le début, c'est un combat pour la vie de Garance qui est mis en place « On a trouvé un lait de substitution, que nous lui faisions boire toutes les deux heures, jour et nuit. Son immunité était par ailleurs beaucoup trop faible et nous lui avons donné des compléments. »
Tous ces soins particuliers ont coûté très cher à l'association. « On n'a pas les moyens de sauver tous les ânes, mais il était hors de question de laisser ce bébé dépérir. »
Garance commence maintenant à manger des granulés, même si elle a encore besoin de son lait adapté. L'association a besoin de votre aide pour continuer à la nourrir et à lui apporter tout ce qui lui est nécessaire.
Pas de subventions et beaucoup trop de frais
Adada a été créée en 1968 et Marinette en est la troisième présidente. Ce sont actuellement plus de 300 ânes qui dépendent de ses soins et des 1800 kg de granulés qui leur sont distribués chaque mois.
Marinette a vu une évolution des conditions de vie des ânes ces dernières années « il y a beaucoup plus de maltraitance et d'animaux laissés à l'abandon dans des prés. Les ânes n'arrivent pas chez nous en bon état, ils sont blessés ou en carences alimentaires. Nous avons beaucoup de frais vétérinaires et il faut se battre pour récupérer de l'argent. »