La pauvre Lilith a été trouvée sans sa maman, en bas d’un immeuble…
480 sachets
de viande offertes
480 sachets
de viande nécessaires
Lorsque la propriétaire de Nougat a été hospitalisée, ce pauvre chat a été confié à un voisin qui n'en voulait pas...
A cause de cela, Nougat est rapidement devenu craintif, amaigri et a fini par attraper la teigne...
Dès que la maîtresse de Nougat est décédée, le voisin a voulu le faire euthanasier.
Heureusement, Muriel a pu le récupérer avant et le prendre au refuge, aujourd'hui c'est un vieux chat de 16 ans qui a besoin de tranquilité, il refuse les croquettes et n'accepte que les sachets.
Le refuge consomme 300 sachets chaque mois, l'association peut garder Nougat, mais elle besoin de notre aide pour le nourrir !
Nougat avait une propriétaire qui l'aimait. Mais quand elle a été hospitalisée, la vie est devenue beaucoup plus difficile pour lui. Muriel, la présidente de l'association, remercie encore le vétérinaire qui a refusé d'euthanasier Nougat « il avait été confié à un voisin de sa propriétaire. Et, quand elle est décédée après 2 ans à l'hôpital, celui-ci est venu l'apporter chez le vétérinaire en disant qu'il fallait le tuer. Il ne s'attendait pas au refus qui a suivi. »
Nougat n'avait pas été bien traité pendant ces deux années « il était très maigre, extrêmement craintif. On s'est même rendu compte qu'il avait la teigne. C'est à se demander comment on s'était occupé de lui. »
Du haut de ses 16 ans, Nougat a donc été sauvé et a trouvé sa place au refuge tenu par Muriel « il ne mange que des sachets. Il se met à part des autres chats pour se nourrir et il vient réclamer quand il estime que sa portion était insuffisante. On dirait qu'il veut compenser les deux années où il n'a pas mangé à sa faim. »
Trop de chats et pas assez de place
Muriel aime les chats, qui le lui rendent bien. Elle a été jusqu'à déménager juste pour leur offrir une plus grande maison en guise de refuge. Ce n'est pas suffisant « il y a trop de chats dans le refuge. Je cherche des familles d'adoption, ou même des familles d'accueil, mais c'est compliqué. Je trouve peu de volontaires.
Il faut les nourrir, les faire soigner... Je dois acheter plus de 30 kg de sachets par mois, et cela juste pour le refuge. C'est un coût et, maintenant que j'ai 60 ans, je ne trouve plus de travail pour m'aider à financer tout cela. »