Le pauvre Chocapic est tout maigre, à cause d’un ulcère à l’estomac…
1 080 kg
de croquettes offertes
1 080 kg
de croquettes nécessaires
« Nous sommes actuellement la seule association sur notre secteur. Les 150 chats des rues des alentours comptent sur nous. Malheureusement, nous sommes sur le point d’arriver au bout de nos stocks de croquettes : les pauvres félins risquent de mourir de faim ! »
« Il y a peu, nous avons recueilli Orphée : la pauvre errait près d’une maison, avec un œil crevé. Afin d’éviter une infection, nous l’avons emmenée chez le vétérinaire, qui lui a retiré l’œil. Nous nous apprêtons maintenant à la relâcher sur site, car elle est très sauvage.
Mais nous sommes inquiets : si nous n’avons plus de croquettes à lui donner, comment fera-t-elle pour trouver de la nourriture, avec un œil en moins ? Tout sera plus compliqué pour elle… Elle risque de ne pas survivre sans notre aide ! »
« Comme ils ont très faim, les chats des rues sont moins vigilants et se laissent facilement tromper par certaines personnes malintentionnées. Il y a peu, nous avons ainsi trouvé trois chats, morts empoisonnés ! »
« Dans la situation sanitaire actuelle, nous ne pouvons plus organiser ni loto ni vide-grenier. Et comme l’avenir est incertain sur le plan économique, les gens donnent moins aux associations. Ne bénéficiant d’aucunes subventions, nous n’avons plus aucune entrée d’argent. Il nous est impossible d'acheter des croquettes ! »
« Entre les stérilisations et les soins quasi quotidiens, nous croulons sous les factures, qui ne cessent de s’accumuler.
Actuellement et comme chaque mois, nous avons 2 000 euros de frais vétérinaires à régler. Notre budget a d’ailleurs été lourdement impacté par les frais de l’année dernière : au total, nous avions eu à payer près de 50 000 euros de factures vétérinaires ! Toutes ces dépenses nous empêchent d'acheter de quoi nourrir les chats... »
« Depuis le début de la crise sanitaire, nous avons constaté énormément d’abandons de chattes gestantes. Il nous a ainsi fallu recueillir près de 60 chatons nés dehors ! Les identifier, les vacciner et les nourrir engrange des frais supplémentaires.
Sans compter qu’une dizaine d’entre eux sont malades du coryza. Il nous faut donc payer leurs soins, en attendant qu’ils puissent être adoptés. Déjà mal en point, notre association est désormais complètement dépassée par la situation ! »
« Il est inenvisageable pour nous de laisser les chats sans nourriture. Depuis quarante ans que nous sommes engagés pour venir en aide aux chats des rues, nous sommes persuadés d’une chose : quand on commence à s’impliquer pour leur survie, on ne peut pas abandonner.
Nous donnons donc de notre temps et de notre argent personnel pour maintenir l’association à flots. Les chats comptent sur nous ! Mais nous arrivons à bout de ressources… Récolter des croquettes est donc une urgence absolue ! »
Quand une récolte échoue, Animal Webaction ne peut pas Iivrer les produits récoltés, l'organisateur ne reçoit rien et les acheteurs sont remboursés.
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